Aiguisant sa hache !!!

Gurdil se tenait assit sur un banc de marbre longeant les murs du hall. Il était affairer à affuter la hache antique que lui avait léguer son grand-pére peu avant sa mort.
Cette hache couverte de runes magiques était magique. Les runes qui ornait la lame étaient en réalité des runes de protection contre la magie. Effectivement, son grand-pére était un fier guerrier qui avait souvent combattu les elfes et les sauvages pour protéger son peuple. Cette hache était un héritage familiale trés précieux, Gurdil se devait de faire honneur à ses ancêtres en en prenant soin le plus possible.
De plus, son tranchant se devait d'être affuter car les sauvages approchaient du Kazad et le combat sera rude et violent.

Durin entendit quelqu'un aiguiser sa hache depuis les couloirs, étrange... Ce bruit provenait du hall d'entrée. Il s'y dirigea et eu la surprise d'y trouver Gurdil, affutant sa hache finement ouvragée, assis sur un banc.

Hola Gurdil ! Que fais tu ici ? Tu ne t'es pas perdu j'espère, ce batiment est nouveau, mais il me semble que tu as déjà trouvé tout seul où se trouvai la taverne ! Sache que cet endroit a été conçu pour que les étrangers viennent s'y présenter et soient acceptés dans d'autres pièces plus intimes pour la discussion or je doute mon ami que tu ai besoin de te présenter. Tu cherche quelquechose peut-être ? Un peu de tranquilité ou peut être simplement regarder les ornements de la pièce. Sache que je suis là pour te répondre si tu as quelquechose à demander.

Gurdil releva la tete en entendant Durin s'adressait à lui. Il posa sa piere à aiguiser et dit l'air morose.

- Ne t'inquiéte pas Durin, je ne suis pas perdu. J'avait juste besoin d'être un peu seul. Et puis j'aime bien le calme de cette pièce.
Enfin, tout ça c'est parceque j'ai une certaine apréhension à combattre à nouveaux les sauvages. La dernière fois, j'ai tout de même basculer dans le monde d'Hadès et même si celui-ci m'a redoné ma chance, j'ai un peu peur d'y retourner. Cependant, en voyant les armes qui ornent les murs, je me dit que si leurs propriétaires sont devenus des légendes, ce n'est pas en fuyant le combat. Ca me donne du courage.

Durin posa sa main sur l'épaule de son compagnon.

Allons ne crains rien mon ami, la dernière fois nous n'étions pas organisés et sur leur terres, mais aujourd'hui le contexte est différent. Nous sommes plus organisés, regroupés, et je doute qu'ils attaqueront avec leur armée en masse, je pense plutot qu'il s'agira de quelques escarmouches, enfin on est jamais trop prudent. Reste regroupés avec tes frères, c'est là la meilleure façon de survivre, je te laisse à présent, j'ai beaucoup de choses à faire.

Gurdil baissa la tête lorsque Durin posa sa main sur son épaule. ce qu'il lui avait dit était vrai. Si les sauvages avez réusi à avoir raison de lui, c'était juste parceque le terrain était à leur avantage et les sauvages les avaient eus par traitrise. Cette fois ci serait différente, il leur ferait payer cher leur félonnie.

- Merci pour tes conseils mon ami. Tu as raison, ce ne sera pas cette fois ci que j'irais rejoindre mes ancêtres.

Gurdil se releva l'air à la fois joyeux et farouche.

- Qu'est ce qu'on attends ? Les sauvages sont à nos portes et nous sommes assis là à parler. Allons rejoindre les autres sinon il n'y aura plus de sauvages à bousiller.

Gurdil se mit à courir, ses lourdes bottes renforcées de métal résonnant dans le couloir silencieux et on l'entendi également chanté des chants guerriers. Le combat aller être sans pitié.

Le visage joyeux, Gotrek rejoint son frère:
"T'as bien raison mon frère, qu'est ce qu'on attend pour allez les éclater !"
En signe d'affection, Gotrek envoya une violente claque dans le dos de son frère qui l'imita peu après.